Au final, on peut résumer un relevé d’indexation par une liste d’entreprises et la position virtuelle de leur site internet dans les résultats de recherche.
En voici un exemple, pour le marché de la location de voiture, avril 2015 : Relevé d’indexation.
Des recherches, encore des recherches
Pour calculer cette position, selon une méthodologie mise au point après plusieurs années d’expertise, Les gens du web commence par réaliser directement de nombreuses recherches :
- – de plusieurs expressions ou mots clés (entre 10 et 20, selon le secteur étudié)
- – depuis plusieurs localisations (entre 3 et 5 villes)
- – sur les deux moteurs de recherche principaux Google et Bing
Ces recherches ne sont pas effectuées par des automates, mais bien par des « humains », afin d’être certain de bien qualifier les réponses.
Généralement, sauf cas particulier pour un client en cours de correction de SEO par exemple, nous n’allons pas au delà de la troisième page de 10 résultats. En effet, le trafic induit sur le 30ème lien est comparable à celui obtenu sur la 5ème page, à savoir un trafic tout à fait négligeable par rapport aux premiers liens de la premiere page. Le premier lien de la première page capte parfois jusqu’à 30% de tout le trafic.
Des pondérations en fonction des volumes
A partir des résultats obtenus, Les gens du web tient compte du volume associé à chacune des recherches. En effet il se peut qu’un acteur soit très bien positionné sur une recherche peu utilisée, et mal sur la principale. Les volumes de réponses fournissent une assez bonne indication du volume de recherches effectuées par les internautes.
Par exemple, de Marseille, dans Google, la recherche « Location de voiture » répondait 40 millions de résultats le 18 mars 2015. La recherche « Louer véhicule » répondait 1 million de résultats, soit 40 fois moins. Dans Bing ces mêmes recherches donnaient respectivement 25 millions et 2 millions.
La pondération de Bing utilisée dans nos calculs reste faible pour la France, dans la mesure où Google représente encore entre 90 et 95% de parts du marché de la recherche.
Enfin, les localisations sont pondérées par leur population, afin de tenir compte des différentes tailles de marché.
Des acteurs non repertoriés
Dans la suite des positions finales publiées dans un relevé d’indexation, apparaissent des « trous ». Par exemple aucun site en position 5.
Cela est lié au calcul agrégé pour chaque entreprise, et au fait que certains liens fournis dans les résultats de recherche ne correspondent pas à des acteurs économiques du marché étudié. Des réponses comme « wikipédia » apparaissent fréquemment dans les liens proposés, sans pour autant qu’il soit intéressant de les relever.
Des positions relatives, et historisées
Il est intéressant d’observer les positions relatives des entreprises, et l’évolution dans le temps de ces positions. Pour cela, les relevés d’indexation passés sont conservés et servent de support à toute étude de mouvement.
Des données détaillées pour nos clients
En plus du résumé des positions des différents sites, nos clients reçoivent le détail de toutes les informations relevées, et peuvent ainsi zoomer sur toute partie de leur choix.
Toujours spécifiquement pour nos clients, nous leur indiquons également quels sont leurs concurrents qui choisissent d’acheter du référencement payant (publicités) et sur quelles recherches.